jeudi 30 décembre 2010

L’Absence du dialogue social et le désarroi des diplômés chômeurs


Nonobstant les efforts déployés par les différentes organisations, les médias et la société civile, les violations des droits de l’homme sont enregistrées chaque jour, ce qui est tout à fait contraire aux principes de la démocratie. Les diplômés chômeurs par excellence, en sont les plus touchés. Le Gouvernement et les responsables en charge du dossier doivent faire preuve de discernement plutôt que de soutenir la violence et l’usage de la matraque à défaut d’un dialogue sérieux pour aboutir à une solution définitive au problème des cadres supérieurs en chômage.

A quand resterons-nous soumis à ces maltraitances incalculables ? Cette situation dramatique que nous vivons au quotidien, n’incite pas à la réflexion ? Ces diplômés qui revendiquent leurs droits les plus légitimes, méritent-ils une telle discrimination !

Priorité oblige. Nos lauréats ambitieux, ont pu grâce à leur détermination,
résister à la pauvreté et à la marginalisation avec l’espoir de trouver place dans la société. Les diplômes décrochés n’ont rien d’authentiques aux yeux du Gouvernement semble-t-il ! La preuve est que leurs détenteurs déambulent continuellement dans les rues de Rabat et crient à qui veut les entendre…

La façon de revendiquer nos droits est basée essentiellement sur la retenue et le respect des autres et ne vise point les affrontements, comme c’est le cas dans d’autres manifestations sociales…Dans la plupart du temps, ces intentions pacifiques et réfléchies de la part de nos militants, profitent aux forces de l’ordre qui s’acharnent sans pitié sur cette catégorie d’intellectuels, ne serait-ce que pour les décourager et les pousser à abandonner …

A vive voix, nous répliquons que nous ne soumettrons jamais ! Mais nous resterons ce que nous sommes. Militons jusqu’au bout pour la défense de notre cause commune, « le droit au travail «, quittes à mourir ensemble.
Par Nadia DERBALI
du groupe Almoustakbal

mardi 28 décembre 2010

Les femmes en chômage se rebiffent



Aujourd’hui, la femme occupe des postes clé dans la société Marocaine pour en citer : La politique,l’enseignement, l’économie, la médecine, la justice etc… qui étaient autrefois l’attribut de l’homme et bien d’autres qui exigent un effort physique. Elle constitue en fait, un facteur essentiel dans la lutte qu’entreprennent les cadres supérieurs en chômage basés à Rabat en général et ceux de l’association nationale en particulier. Tout comme leurs confrères, les femmes en chômage se sont jointes aux associations pour défendre leur noble cause qu’est le droit au travail.  Elles s’attroupent devant le siège du Parlement endurant les difficultés d’éloignement de leurs proches; la plupart d’entr’elles viennent des régions lointaines comme Oujda, Nador, Tanger, Agadir, Ouarzazate, Errachidia, Fes, Marrakech, Béni-Mellal, Taza etc...oujda24

samedi 11 décembre 2010

caricature

Célébration du 62e Anniversaire de la déclaration Universelle des Droits de l’homme


  

   A l'occasion de la célébration du 62e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme, un sit-in à été organisé en la circonstance le 9 DEC 2010 devant les locaux de la poste à RABAT.
   L'adjoint de la Présidente de l'association Marocaine des droits de l'homme Mr. Abdel illah  BENABDESALAM est intervenu pour mettre en exergue les violations enregistrées, les exactions des autorités envers la presse, la situation des disparus, des prisonniers politiques et le calvaire des cadres supérieurs en chômage qui sont persécutés quotidiennement par les forces du maintien de l'ordre.
   Le discours ainsi tenu a été prononcé à l'adresse des responsables de haut niveau pour respect de la charte. Des slogans dénonçant la politique du gouvernement ont été dits à l'issu. Les dirigeants, les militants et militantes du Groupe Al Mostakbal des cadres supérieurs en chômage basés à Rabat, avaient répandu massivement à l'invitation de ladite association pour exprimer leur désarroi, leur exclusion et revendiquer leur cause commune quant à leur insertion dans le secteur public.
   Cette manifestation grandiose à laquelle ont pris part, les différentes associations des droits de l'homme, s'est déroulée dans une atmosphère sereine.

                                                                          

                                                                        groupe Al Mostakbal                                                                       

mercredi 8 décembre 2010

Défense des cadres féminins en chômage protestant à Rabat

                  Aujourd’hui, la femme occupe des postes clé dans la société Marocaine pour en citer : La politique, l’enseignement, l’économie, la médecine, la justice etc… qui étaient autrefois l’attribut de l’homme et bien d’autres qui exigent un effort physique. Elle constitue en fait, un facteur essentiel dans la lutte qu’entreprennent les cadres supérieurs en chômage basés à Rabat en général et ceux de l’association nationale en particulier. Tout comme leurs confrères, les femmes en chômage se sont jointes aux associations pour défendre leur noble cause qu’est le droit au travail.  Elles s’attroupent devant le siège du Parlement endurant les difficultés d’éloignement de leurs proches; la plupart d’entr’elles viennent des régions lointaines comme Oujda, Nador, Tanger, Agadir, Ouarzazate, Errachidia, Fes, Marrakech, Béni-Mellal, Taza etc…sans compter les frais du voyage, du loyer et les mauvais traitements qu’elles subissent à chaque manifestation.

                           IL est impératif de signaler que les diplômés chômeurs continuent de batailler pour espérer décrocher un emploi, à défaut dans le secteur privé mais en vain. L’absence de garanties, d’encouragements et les faibles salaires proposés, ne les incitent guère à en faire une priorité. La
présence de ces cadres féminins dans les rues de la ville de Rabat ne traduit nullement leur manque de volonté, ni leur incompétence comme le pensent les bien lotis, bien au contraire, elle démontre leur propre vision sur le droit au travail en général d’autant que la quasi-totalité des entreprises Marocaines sont gérées pas des familles aisées et dominantes où triomphe le népotisme.

                           En réalité, l’engagement des cadres féminins dans la lutte aux côtés de leurs confrères exprime clairement la collaboration et l’entente qui existe entre l’homme et la femme, mais elle traduit également la volonté qui les anime pour formuler leurs revendications et s’associer pleinement dans le tissu collectif sans oublier les sacrifices faits sur le terrain ; la plupart d’entr’elles sont souvent agressées physiquement voire même piétinées au cours des violents affrontements et des poursuites sans merci des agents des Forces de l’ordre.

                 La détermination de ces militantes fait la fierté des femmes Marocaines dans leur lutte qui a marqué la période du Colonialisme et de l’ère nouvelle pour faire entendre leur voix. Mais Malgré toute la reconnaissance à leur dévouement, il convient de dire qu’elles ne possèdent pas la capacité physique et l’endurance requises et de ce fait, elles bénéficient de la sympathie et du soutien inconditionnel de leurs homologues les cadres supérieurs en chômage.

                            A noter cependant que le pourcentage des cadres féminins en chômage affiliés au Groupe Al Moustakbal depuis le début du mois de Septembre 2009 ; date correspondante à sa création, avait atteint 60 % contre 45 % actuellement. La question qui se pose est la suivante : A quoi est due cette baisse et comment l’expliquer ? Véritablement, cela est dû à l’entêtement du Gouvernement qui refuse de trouver une solution juste et durable à ce problème épineux, chose qui entrave la poursuite de la lutte engagée  par ces militantes et de surcroît, elles sont manifestement contraintes de se désister. En dépit du refus persistant du responsable en charge du dossier des diplômés chômeurs, on note les conditions désastreuses dans lesquelles elles se trouvent d’autant que bon nombre d’entr’elles qui ne peuvent supporter les dépenses, préfèrent s’établir à Rabat que de faire le voyage à chaque fois particulièrement celles qui habitent dans les zones les plus reculées. Par crainte donc, beaucoup de familles cherchent à persuader les leurs à renoncer à cette lutte commune ; d’autres qui pour une raison ou une autre ne sont jamais présentes le jour «  J «.

                              L’engagement des cadres féminins sur le terrain reflète la présence de la femme d’une façon concrète et palpable. Si toutefois, les organisations et les associations qui défendent les droits de la femme contre l’exclusion et d’autres contraintes telles les agressions corporelles et psychologiques, il est du devoir de tous de suivre cette marche en signe de solidarité avec ces femmes qui militent avec la volonté d’aller vers l’avant pour le plus grand bonheur des générations futures.

                              A cette occasion, il y a lieu de citer ici l’exemple de MOUNA KHARMACH gynécologue et spécialiste dans les maladies de la femme qui a eu le privilège d’assister à la cérémonie de l’appellation de «  la Rue des Marocains « à KHAN YOUNES en Palestine, en récompense à sa participation aux côtés de deux Docteurs ; un chirurgien dentiste et un ophtalmologue dans la mission humanitaire en faveur des enfants de GAZA. Son séjour qui a duré plusieurs semaines pour représenter la femme Marocaine à l’étranger lui a valu cet honneur et permis d’assister à des évènements inhumains dont elle n’a pu priver les lecteurs de certains détails à travers l’interview accordée au journal «Attajdid «  dans son édition n° 10210/20 à son retour dans le pays.

                                Face à cette situation qui s’empire d’année en année, le Gouvernement est appelé à surpasser les erreurs commises dans le passé et à faire de l’embauche des diplômés chômeurs une préoccupation majeure dont les répercussions sociales qu’elle entrainerait risquent d’être fâcheusement désagréables; c’est ce à quoi aspire chaque cadre.

                                 En conclusion, les cadres supérieurs en chômage revendiquent pleinement le droit au travail et leur insertion dans la fonction publique tel qu’il est défini par la constitution et lancent un appel incessant aux militants et militantes du groupe de s’armer de patience et de poursuivre le combat jusqu’à dénouement de cette affaire qui intéresse au plus haut point tous les foyers Marocains.

mardi 7 décembre 2010

La rumeur dans le milieu des Cadres Supérieurs en chômage

Ce phénomène social appelé «  rumeur «  remonte à des décennies. Mais si on peut le définir ainsi; c’est le plus vieux média qui existe du fait qu’il concerne une information dont on ignore l’origine.
               Demblée, la rumeur reste avant tout un moyen de communication entre les personnes. L’information rapportée est vite colportée et tout un chacun peut y ajouter son propre commentaire. Au fond, elle ne touche pas forcément les incultes, mais elle affecte tous les milieux sans distinction aucune, particulièrement les diplômés chômeurs qui sont sur le seuil de l’espérance; ces esprits avides de tout connaître sur leur devenir.
               Sommes-nous intéressés par la rumeur, nous les cadres supérieurs en chômage ! Si oui, comment nous y adapter ? A mesure qu’une information sûre ou infondée soit-elle  tombe au milieu de ces militants, elle est mal commentée et le bouche à oreille fait le reste. Plus la rumeur se répand, plus les divergences apparaissent entre militants et dirigeants de l’association.
               La polémique a commencé après la publication sur les pages de certains journaux nationaux de différentes tendances du nombre de quotas prévus dans la loi de finance de l’année 2011 où les chiffres ont varié de journal en journal. A en croire certains qui avaient fixé le nombre de places qui seraient octroyées aux diplômés chômeurs à 23500, d’autres l’avaient estimé à 18802 mais la réalité est loin d’être connue. Cette discordance a donc crée une vite tension dans les rangs des diplômés qui manifestent sans répit dans les rues de Rabat.
               Par son impact positif, cette rumeur qui hante les esprits mal nourris a occasionné un manque de contrôle de soi chez certains, et plongé d’autres dans le doute. Nos militants ne comprennent toujours pas en quoi elle consiste. Au juste, elle a tendance à affaiblir la grogne de ces « désespérés « basés à Rabat, qui cherchent à être tenus au courant et en permanence de l’évolution de la situation pour ne pas avoir recours à la force ou aux critiques virulentes à l’égard du Gouvernement qui n’a d’autre projet que d’augmenter le taux de chômage dans le pays.
               Pour conclure, il faut dire qu’il est temps de faire preuve de modération et de bon sens. Cette insertion tant revendiquée, n’est pas pour demain. Militons donc ensemble pour le principe du Groupe qu’est : «  Le droit au travail des cadres supérieurs  en chômage «  qui doit rester au dessus des désaccords flagrants entre dirigeants et militants tout en étant persuadés d’en finir une fois pour toutes avec la rumeur.
                       
                                                                                              Par Nadia DERBALI
                                                                                          du Groupe Al Moustakbal

lundi 6 décembre 2010

Les diplômés chômeurs revendiquent plus d’équité

Nous  constatons de nos jours que l’attitude du Gouvernement marocain  à l’égard du dossier des diplômés  chômeurs a pris une tournure autre que celle connue par les anciens grévistes
mais qui s’est soldée par des résultats  satisfaisants  et a contribué à leur  embauche dans le secteur public.
Au début de l’année 2008, les effets du changement ont été ressentis par l’apparition de groupes appelés  « Fantômes » qui sont connus par l’interlocuteur social chargé du dossier des diplômés  chômeurs comme des groupes qui ont choisi entre autre une façon de manifester ...suite

Bonne année de l'hégire











A l’occasion du 1er Mouharram qui coïncide avec le début de l’année musulmane 1432 et  qu’on fêtera demain mardi au Maroc,    groupe almostakbal vous présente ses meilleurs vœux de bonheur

samedi 4 décembre 2010


Estudiar lleva al desempleo en Marruecos

Adnan Dergoul: miembro del grupo Almostakbal

Un país próspero pero a la vez libre y democrático requiere no sólo de profesionales sino de ciudadanos libres y críticos, capaces de actuar como agentes de cambio en la sociedad que los rodea. El motivo de nuestro análisis se sitúa en el rol de el estado  en el Siglo XXI; en ésta ocasión nos situaremos en las calles de la capital Rabat, donde Ingenieros, y titulados de diplomas superiores (DESA, DESS, Doctorado), se encuentran en manifestación durante los últimos diez años por la política impuesta por el gobierno marroquí; siendo víctimas de “las fuerzas de la intolerancia y el orden”....el corresponsal

Participation du groupe almostakbal à la manifestation populaire pour la défence du Sahara"marocain" Dimanche 27 Novembre2010

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